Travailleuse du sexe : pourquoi Genève attire les Françaises
En plein cœur de Genève, plusieurs sont ces travailleuses de sexe qui sont disponibles pour offrir des parties intenses à leurs clients. Parmi elles se trouvent des Françaises dont le nombre augmente de plus en plus. La Suisse attire donc ces étrangères qui s’exilent totalement sur une longue durée. Quels avantages peuvent-elles alors trouver dans cette ville et pourquoi laissent-elles leurs pays ? Dans les lignes à venir de ce billet, vous découvrirez tout à ce propos.
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Exile des prostituées Françaises à Genève
Depuis 2008, le nombre de prostituées connaît une ascendance exponentielle en Suisse. Chaque année, le nombre se multiplie par 4 à cause de l’afflux massif des Françaises. 69400 professionnelles de sexe ont été dénombrées dans la ville de Genève selon les études menées par l’INSEE récemment en 2020. Dans divers établissements présentés comme des salons de massages érotiques et autres espaces privés se trouvent ces pros du sexe dont la majorité est Française. Devenir donc une Escort girl à Genève est très favorable à cause de certaines conditions généreuses.
Conditions des travailleuses de sexe à Genève
À Genève, la prostitution est légalement reconnue et tout espace qui respecte les normes établies pour le secteur exerce en toute quiétude. Cette légalisation est finalement obtenue grâce à Grisélidis Réal. Cette figure emblématique est une grande écrivaine et une peintre. Elle était également une prostituée et a lutté pour revendiquer le rôle social de la prostitution. Mis à part cela, le métier est très bien payé selon les témoignages recueillis chez plusieurs pratiquantes. Elles avouent se faire 1000 € à 1500 € en une soirée en sortant avec des mecs pour des parties de jambes en l’air.
Elles quittent leurs pays pour s’installer définitivement, car la prostitution soulage les misères qu’elles vivent en tant que prostituées sur leur territoire. Contrairement à ce qui se fait dans leurs pays, elles bénéficient d’un vrai statut en Suisse. Elles ont l’obligation de se faire enregistrer par la police afin de bénéficier d’une protection en bonne et due forme. Elles ont le droit d’exiger des protections et peuvent fixer elles-mêmes leurs prix.
En cas de malentendu ou lorsqu’une travailleuse de sexe est ennuyée en plein ébat, elle a la possibilité de solliciter une intervention policière. Aussi, le statut qu’elles obtiennent leur permet d’exercer en toute liberté sans souteneur. Les Françaises deviennent ainsi indépendantes dans la ville de Genève et peuvent cotiser auprès de l’État pour leur retraite. De cette manière, elles n’auront plus à continuer ce travail une fois qu’elles auront pris de l’âge.
Avantages de la prostitution à Genève
À travers les informations détaillées ci-dessus, il apparaît clairement que la ville de Genève est la ville idéale pour n’importe quelle travailleuse de sexe. Les Françaises y déménagent donc pour assurer leurs gagne-pains quotidiens. Elles s’exilent surtout, parce que dans leur pays, la prostitution est combattue à un certain degré. Cette situation ne leur permet pas d’exercer le métier convenablement et de gagner des sous minimums.
Elles préfèrent fuir la misère pour se construire une vie et faire partie d’une certaine classe. À Genève, elles sont psychologiquement à l’aise, car elles n’ont plus à craindre les regards extérieurs. Elles sont bien traitées par les clients et sont protégées par la loi. Elles sont disponibles pour des fonctionnaires internationaux qui viennent occuper des postes de courtes périodes dans la ville. Elles font ainsi de nouvelles rencontres tout en se sentant utiles dans la société.
En Suisse plus précisément à Genève, les travailleuses de sexe profitent d’un système équitable. Elles peuvent avoir un revenu stable comme toute autre personne et prendre soin de leur famille sans crainte. La sécurité leur est garantie ce qui pousse les Françaises à quitter leur pays pour y trouver un refuge à vie.